Journal berlinois

Vendredi 5 juin 2009

Retour au Helmotz-Gymnasium de Potsdam avec Katrin Schielke. Durant toute la rencontre, je ne peux m'empêcher de décrypter le caractère de chacun des élèves. L'observation se fait à la dérobée. Dès que mon regard croise le leur, j'ai la sensation que la posture se fige. Comme en physique quantique, l'observation d'un phénomène en modifie la nature.

Il fait froid ces jours à Berlin, ça ne pousse pas à glander dehors, ce n'est pas plus mal. Je rentre à Kreuzberg où pas mal de travail m'attend.